Étudiant en DUT Métiers du Multimédia et de l’Internet (MMI) sur le campus d’Elbeuf
« Je trouve que le DUT MMI me donne toutes les cartes en main pour pouvoir envisager un grand nombre de formations supplémentaires »
Je m’appelle Théo, j’ai 19 ans et suis originaire de Normandie. J’effectue actuellement ma deuxième année au sein du DUT MMI (Métiers du Multimédia et de l’Internet) de l’IUT de Rouen, situé sur le campus d’Elbeuf. J’ai choisi d’intégrer cette formation car elle propose une certaine polyvalence et forme aux métiers du numérique. En effet, nous y avons des cours :
À l’issue de ma formation, je souhaiterais intégrer une école d’ingénieurs pour acquérir le niveau bac +5. Cela me permettra d’ouvrir encore plus mes possibilités professionnelles. J’envisage notamment, grâce à ma formation actuelle, d’intégrer l’IMAC – Image – Multimédia – Audiovisuel – Communication, une formation publique d’ingénieur qui allie arts et sciences. Souhaitant devenir ingénieur dans le numérique, je trouve que le DUT MMI me donne toutes les cartes en main pour pouvoir envisager un grand nombre de formations supplémentaires dans ce domaine.
Comme je l’ai dit précédemment, j’étudie sur le campus d’Elbeuf. Celui-ci est quelque peu délocalisé par rapport à l’université de Rouen Normandie puisqu’il se trouve à 30 minutes en transport du centre-ville de Rouen. De plus, nous sommes peu nombreux sur ce campus avec environ 250 étudiants. Cela permet, en grande partie, de construire des liens solides, presque familiaux, avec les autres étudiants. Le BDE la Bête (Bureau des ETudiants d’Elbeuf) contribue beaucoup à la bonne entente avec nos camarades, en organisant des évènements qui rythment la vie du campus tout au long de l’année.
Etudiant en Licence 1 Sciences du langage, UFR Lettres et Sciences Humaines
« S’impliquer dans les cours, dépasser le cadre habituel et développer sa créativité et sa confiance pour parler devant les autres tout en acquérant le programme de la licence sont, pour moi, des nécessités pour rendre les enseignements plus vivants. »
Je m’appelle Simon Lâpre, je vais avoir 20 ans cette année et je suis en licence 1 de Sciences du Langage, à l’UFR Lettres et Sciences Humaines de l’université de Rouen Normandie.
Je souhaite devenir orthophoniste en intégrant dès la rentrée prochaine la licence 1 d’orthophonie, de Rouen ou d’une autre université si nécessaire.
Après avoir échoué l’an passé, je me suis engagé en Sciences du langage pour continuer à apprendre, pour découvrir la faculté, et enfin pour démontrer ma motivation à devenir orthophoniste en m’engageant dans une formation présentant des similarités.
Mon campus me plaît. On entend parfois des avis négatifs à propos de la faculté : manque d’organisation, de moyens, équipements vétustes… Pourtant, en pratique, j’ai eu la chance d’avoir dans mon apprentissage des professeurs dévoués, impliqués, et certains m’ont vraiment appris beaucoup de choses cette année, au-delà des enseignements techniques de la licence.
Ce qui m’a le plus plu durant cette année universitaire, ce sont les projets qui sortaient du cadre institutionnel classique : les cours d’expression orale, d’art oratoire, ou encore la mise en pratique du cours de phonétique sous forme de concours de présentation oral.
S’impliquer dans les cours, dépasser le cadre habituel et développer sa créativité et sa confiance pour parler devant les autres tout en acquérant le programme de la licence sont, pour moi, des nécessités pour rendre les enseignements plus vivants.
Ensuite, on obtient souvent ce que l’on veut sur le campus : de la place pour travailler, des bibliothèques, de très nombreuses activités sportives. La vie étudiante est plutôt vivante, et quand on s’y intéresse, on découvre des pièces de théâtre, des concerts quelquefois sur le campus.
Comme dit précédemment, j’espère intégrer un centre de formation en orthophonie. Ce projet est le seul qui me tienne vraiment à cœur. Malgré tout, la licence 1 m’a beaucoup appris, par les enseignements mais aussi les à-côtés.
J’ai pu faire du tutorat dans le cours d’art oratoire, et donner des cours bénévolement aux migrants mineurs accueillis par l’Université. Enfin, le travail de certains de mes professeurs m’a beaucoup inspiré pour le type de soignant que je veux être, qui nécessite une part de pédagogie et d’humain.
Étudiantes en licence de Droit
Louise : J’ai 20 ans, je viens comme on le dit ici, de « la campagne », de Saint-Romain de Colbosc exactement. Les études étaient simples pour moi à réaliser au Havre, c’est à 20 kms. Après un cursus en licence droit, je souhaite maintenant intégrer un master MEEF pour me tourner vers les métiers de l’enseignement. Mon projet prend complètement sens à travers cette dernière phase de ma formation. Il s’est construit avec le temps, en structurant des hypothèses et en m’appuyant sur tout ce qui m’a été enseigné et ce que j’ai expérimenté ici.
Audrey : Nous venons toutes les deux du même endroit, et le choix de cette possibilité de formation à 20 kms de la maison a été déterminant, sachant par ailleurs que le niveau d’enseignement est de qualité. Pour le domaine choisi pour moi, le droit est venu à moi au départ après un bac scientifique avec cette idée que cette « porte ouverte » pouvait mener à beaucoup de choses. Cela me permettait d’envisager de vastes possibilités d’intégration professionnelle. Et avec un bac scientifique en poche, le droit était comme une vraie nouveauté pour moi.
Louise : J’investis l’année en cours pour expérimenter différentes voies professionnelles, je cherche en parallèle de mon cursus à être AVS (Auxiliaire de Vie Scolaire) pour accompagner les élèves en situation de handicap ou de difficultés scolaires et me préparer aux métiers de l’enseignement pour ensuite intégrer un master MEEF. La pédagogie a toujours été ma passion. Elle s’est confirmée à travers cette formation en droit, au terme de laquelle j’ai validé une licence en juin et cela a solidement structuré ma méthodologie de travail. Aussi, les différent.e.s enseignant.e.s que j’ai pu rencontrer à l’université, ont été une vraie source d’inspiration pour consolider mon idée sur cette vocation.
Audrey : L’attrait pour le droit, et ce qui s’est confirmé tout au long de mon parcours, vient d’un désir chez moi : « d’aider l’autre ». C’est ce qui a primé pour mes choix professionnels. Au début, plutôt motivée par l’idée d’être juge aux affaires familiales ; aujourd’hui c’est le métier d’avocat spécialisé dans le civil qui m’intéresse, toujours avec cette conviction qui me porte d’apporter une aide aux clients dont j’aurai à défendre les dossiers. Je conclue mon parcours en master « Droit, justice et procès » – « Carrières judiciaires ».
Louise : Comme je vous le disais, mon « dada » a toujours été la pédagogie. L’expérience des enseignements ici ont structuré une image forte du rôle de l’enseignant. Nous avons à l’université des enseignant.e.s d’une exceptionnelle qualité, toujours à l’écoute, accessibles. Ce qui n’est pas forcément le cas dans les plus grandes universités par exemple.
A un niveau très pragmatique en terme de technicité professionnelle pour l’enseignement, cela m’a apporté l’apprentissage de l’éducation civique et morale, la notion de respect de l’autre, la résolution de problème, le respect du cadre et du droit, et tout simplement la connaissance juridique qui est utile à beaucoup d’exercice professionnel. Par ailleurs, au concours d’enseignement, on doit choisir 6 matières dont l’éducation morale. Ce sont forcément des notions très intégrées pour moi et ce sera intéressant de pouvoir le transmettre aux groupes d’élèves dont j’aurai la charge.
Audrey : Comme le disait Louise, l’attrait majeur de notre formation (et de notre université) est que nous évoluons dans une structure à taille humaine. Ce qui ajoute un réel supplément d’âme. Tout en étant de très grands experts de leur domaine, nous bénéficions d’une proximité exceptionnelle avec nos enseignant.e.s ; à côté de très grande université où cela est quasiment inexistant. Ici, on nous appelle par notre prénom !
Par ailleurs, le droit est un parcours riche, où nous apprenons sommes de choses. L’enseignement particulièrement rigoureux et dense amène à structurer un esprit méthodique attaché à la mise en perspective des détails et la maîtrise d’un regard global.
Pour moi, je vois ce parcours comme un très bon entraînement pour affronter les réalités professionnelles. Il faut être doté.e d’une grande capacité d’endurance et de persévérance. J’envisage après mon master d’intégrer l’IEJ (Institut d’études judiciaires) de Rouen en spécialisation « Droit de la Famille » pour me préparer au concours du centre régional de Formation de professionnelle d’avocat, pour exercer ensuite en droit de la famille et des personnes. Je tiens donc à cette idée de départ qui primait pour moi à travers l’aide, le conseil apporté, plutôt que l’aspect plaidoirie du métier, pratiquée par un avocat au pénal par exemple.
Mon master offre un parcours solide, qui demande beaucoup d’investissement. A la vue de la difficulté des concours très sélectifs, les études le sont en conséquence, c’est normal. Les apports principaux de nos enseignements sont la rigueur et l’organisation, la mise en pratique de cas concrets et réels, ce qui nous aide à y faire face quand nous y serons confrontés. La formation apprend aussi à structurer sa pensée, à avoir une opinion par soi-même et appréhender sous plusieurs angles, une seule et même situation. Le plus important en droit, et à l’université en général, c’est cette possibilité de développer le libre arbitre et l’indépendance d’esprit. Les métiers juridiques demandent de ne pas fléchir, par rapport à son intime conviction par exemple, et c’est ce que nous apprenons tout au long de notre parcours.
Louise : L’université nous offre un formidable cadre d’apprentissage avec la BU. Son architecture est claire et neutre ce qui favorise le travail, les ouvrages y sont très accessibles. Comme on l’évoquait, la pédagogie de proximité permet de continuer sereinement son parcours. Les lieux de vie comme la cafétéria et le RU sont très abordables, et le personnel attache un point particulier à l’accueil, ils sont adorables.
Audrey : L’attrait de notre campus passe par son implantation dans un cadre de vie dynamique et accueillant. Et puis cette merveilleuse bibliothèque… De belles ressources, de l’espace et du calme pour de longues heures de travail. Et tout le monde se connaît. Quand on dit : université de proximité, ça prend vraiment son sens. Le SUAPS est super actif. J’adore leur cours zoumba… Il y a eu une soirée cardio, il n’y a pas longtemps. C’était super.
Louise : Le Havre offre un potentiel d’enseignement supérieur important et très attractif avec l’arrivée notamment de l’ENSM et de Sciences Po. Par ailleurs, l’université est très active dans ses partenariats avec l’étranger, ce qui est bien pour la ville et donne du peps et du dynamisme. Autres points positifs : l’aménagement des abords de l’université, les commerces, les transports en commun…. C’est dans un espace si restreint, une petite ville dans la ville, avec tout à portée de main. Et l’invitation à l’évasion avec le cinéma en accès direct, la piscine, la gare à deux pas et la plage à 3 arrêts de tram.
Le Havre est une super ville en plein boom et l’université contribue aussi à son déploiement.
Audrey : Au début je trouvais que ça ne « payait pas de mine ». Je ne trouvais pas la ville accueillante. Je ne pense plus comme ça maintenant. Il y a eu un gros développement étudiant. Et puis il y a la découverte de lieux incontournables comme « Le Fort ! ». On y fait tout. C’est un lieu multiculture, intergénérationnel et accueillant.
Titulaire d’un DUT Carrières Juridiques, Alexis intègre la Licence d’Administration Publique afin de préparer au mieux le concours de Sous-officier de Gendarmerie. Durant son année d’étude à l’IPAG, il réussit le concours de Gendarme Adjoint Volontaire (catégorie C) et travaille depuis le 32 août 2017 dans une brigade de gendarmerie du Var.
Une très bonne équipe pédagogique, les enseignants proviennent des métiers de la fonction publique et de la fac de droit. Cela rend les cours très enrichissants. L’emploi du temps n’est pas trop chargé ce qui permet de préparer des concours à côté. De plus, l’équipe administrative est très compétence et professionnelle. Celle-ci donne tout pour le bien-être des étudiants de l’IPAG.
Cette association m’a appris le travail en équipe, l’effort et défendre une cause. De plus, travailler pour le bien-être des étudiants est agréable. Voir le sourire sur le visage des étudiants, surtout après des mois d’effort (comme pour le Gala) fait toujours plaisir.
Je n’ai pas fait de stage… En revanche, j’ai fait un mémoire qui m’a appris la légitime défense.
J’ai choisi l’IPAG de Rouen pour préparer le concours de Gendarmerie, les épreuves correspondent aux matières que l’on enseigne à l’IPAG. De plus, cela m’a permis d’obtenir une licence soit un Bac+3.
L’investissement : c’est important de s’investir pour être préparé au mieux pour les concours.